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Alpes, Vercors : Weekend Raquettes : Rendez-vous au refuge ! - 2 jours en liberté
Rando En liberté - 3 jour(s)
A partir de 270,00 € TTC
Contactez le producteur pour + d'infos
Un besoin d'évasion pressant et peu de temps pour organiser une échappée pour vous reconnecter à la nature ? … Et si le dépaysement était à portée de main, ou plutôt de raquettes ?
Pour les amoureux de la nature désirant s'immerger en montagne le temps d'un week-end (ou en décalé !), nous vous avons concocté une mirco-aventure de 2 jours à travers les paysages nordiques du Vercors.
Cheminer à travers les forêts de sapins immenses, faire sa trace dans la neige vierge de l'alpage puis finir sa journée dans authentique refuge d'altitude et déguster un bon dîner près de la cheminée : on a déjà hâte d'y être !
Une aventure immersive sous les flocons, accessible à tous, à glisser aisément et sans aucune modération dans votre programme hivernal !
Jour 1 : Autrans-Méaudre
Jour 2 : Autrans-Méaudre - La Molière
Afin de vous offrir une expérience unique d'immersion en montagne, nous avons sélectionné un refuge qui n'est pas accessible par la route. Le transport de vos bagages n'est donc pas assuré. Vous portez vos affaires réduites pour 2 jours (change pour la nuit, votre change du lendemain, pique-nique et eau). Vous pourrez laisser à l'hébergement du J1 le reste de vos affaires.
Vous empruntez la navette du village puis embarquez à bord du télésiège pour une ascension aisée sur les crêtes bordant l'extrémité nord du massif. Vous cheminez par le GR sur un magnifique sentier entrecoupé de panoramas, tantôt sur l'intérieur, tantôt sur l'extérieur du massif. Possibilité de poser votre sac au refuge afin d'explorer l'alpage plus "léger".
Dénivelée : 100 m Longueur : 6 km Horaire : 3 h
La navette du village vous dépose sur le vaste plateau de Gève, domaine de ski nordique où s'entraînent nos champions de la discipline. Quelques noms connus pourraient glisser devant vous … Vous progressez à travers l'immense forêt de sapins anciens. Ne vous méprenez pas .. ! Vous n'êtes ni en Laponie, ni au Canada … mais bien au cœur du Vercors. Vous rejoignez ensuite l'itinéraire « découverte » pour atteindre le refuge.
Dénivelée : 680 m Longueur : 14 km Horaire : 6 h
Jour 3 : La Molière - Autrans-Méaudre
Un café bien chaud en main et quelques tartines prépareront votre corps pour cette 2ème journée sur les hauteurs. Les lève-tôt seront récompensés par un lever de soleil hivernal : froid et pourtant si magique... Deux itinéraires possibles pour regagner Autrans. De retour au camp de base : vous retrouvez les affaires laissées la veille. Dispersion.
Vous plongez vers l'ouest pour revenir au village, un arrêt s'impose à la cascade de Bellecombe, figée dans la rudesse de l'hiver.
Dénivelée : 270 m Longueur : 10 km Horaire : 3 h 30
Vous continuez à longer la grande Crête de la Molière en direction du sud. Vous ralliez votre point de départ par un dédale de sentiers abrités avant de tomber sur les hameaux typiques du Vercors avec leur architecture traditionnelle. Une dernière petite montée vous mène en haut des tremplins de saut à ski (toujours en activité) d'où vous pourrez vous imprégner une dernière fois de ce paysage hivernal.
Dénivelée : 530 m Longueur : 18 km Horaire : 6 h
Remarques : Les destinations de ces sorties sont données à titre indicatif. Nous pouvons être parfois amenés à modifier quelque peu le programme : soit au niveau de l’organisation, soit de la météo, de l’enneigement, du niveau du groupe…
Faites-nous confiance, ces modifications sont toujours faites dans votre intérêt, pour votre sécurité et un meilleur confort !
POUR EN SAVOIR PLUS
- un magnifique recueil de photos sur la réserve des Hauts Plateaux, intitulé Vercors d’en haut, commenté par Daniel Pennac, éditions Milan.
- une riche collection sur des thèmes aussi variés que les routes du Vercors, la vie monastique, les ours, les contes et légendes du pays...
- un livre des enfants, avec dessins, photos pour mieux faire comprendre à nos enfants la richesse du Vercors (sa formation géologique, la faune, la flore, l’architecture...). Titre de cet ouvrage : Dis, raconte-moi le Vercors.
• Pour une approche plus générale du Vercors, consultez le guide de François Ribard À la découverte du Vercors éditions Glénat.
• Enfin, l'association d'Histoire locale de Lans en Vercors a édité, à ce jour, 4 numéros des Cahiers du Peuil, dans une collection intitulée jadis, au pays des Quatre Montagnes : vous y découvrirez la vie et les anecdotes d'un passé qui n'est pas si loin dans le temps...
- Sites Internet : www.vercors.fr
www.parc-du-vercors.fr
- Parc naturel régional du Vercors, à Lans en Vercors : tel 04 76 94 38 29
Le nom « Vercors » viendrait du nom d’un peuple celte installé dans la région : les Vertacomicorii.
Les habitants du Vercors sont donc les Vertacomicoriens !
Ce n’est qu’au début du XXème siècle que les géographes grenoblois définissent l’entité Vercors comme étant un massif montagneux.
Le Vercors est une entité rocheuse délimitée par 3 rivières : au nord et à l’ouest l’Isère, à l’est le Drac et au sud la Drôme. Le Vercors, massif situé sur deux départements, l’Isère et la Drôme, est composé de sept pays :
- Les Quatre Montagnes au nord-est
- Le Royans isérois au nord-ouest
- La Gervanne au sud-ouest
- Le Royans drômois entre Gervanne et Royans isérois
- Le Vercors central
- Le Diois au sud
- Le Trièves au sud-est
Le Vercors est un massif calcaire constitué de sédiments qui se sont empilés pendant l’ère secondaire (-150 à – 65 millions d’années). Par la suite, la tectonique des plaques a donné naissance aux Alpes. Les roches du Vercors se sont déplacées vers l’ouest. Mais, les volcans d’Auvergne, plus anciens, ont formé un barrage. C’est pourquoi le déplacement s’est accompagné d’un plissement des roches et donne au massif sa structure en tôle ondulée : anticlinaux pour les plis en voûte et synclinaux pour les plis en creux.
L’eau a ainsi façonné au fil du temps des gorges profondes, des cirques majestueux, des gouffres et des grottes parmi les plus célèbres en Europe (gouffre Berger, grottes de Choranche).
Ainsi vous découvrirez des paysages des plus divers tels que falaises, prairies herbeuses, sentiers en sous-bois, cascades rafraîchissantes ou panorama à 360°.
Le tourisme a commencé à se développer avec la station climatique de Villard de Lans. Les malades, atteints de tuberculose, venaient y séjourner et se mettre au soleil et au grand air sur les larges balcons des hôtels. Les remontées mécaniques apparaissent dès 1931. Après la Deuxième Guerre mondiale, nombre de mutations vont changer la vie des habitants et des touristes : achèvement de l’électrification, ouverture de nouvelles routes. Les Jeux Olympiques de 1968 de Grenoble donnent encore un élan de médiatisation avec celles du saut à ski à Saint-Nizier-du-Moucherotte et les épreuves de ski de fond à Autrans. C’est dans ce cadre que s’est développée la traditionnelle Traversée du Vercors, course de ski de fond - inspirée de la Vasaloppett en Suède - plus de 50 km et 2 000 mètres de dénivelées positives. De nombreuses modifications ont été apportées depuis 1968. Des variantes ont également été créées : la Vercorette pour les enfants et les 100 km du Vercors.
Toute l’architecture du Vercors n’est pas identique. Elle varie en fonction de l’altitude et du climat. On retrouve tout de même certaines particularités propres au Vercors. Ainsi les maisons regroupent l’habitation et le bâtiment agricole sous le même toit. Les murs sont fait en pierre - du calcaire - et les ouvertures sont petites et orientées au sud. Le bois est très peu utilisé (malgré les ressources locales) en raison des risques d’incendie.
Le plus caractéristique de ces habitations vertacomicoriennes se situe au niveau de la toiture. Celle-ci, à deux pans, a des pentes très raides. Anciennement le chaume était utilisé. Pour la protéger du vent, on faisait dépasser les pignons au-dessus de la toiture. C’est cette forme si particulière nommée « sauts de moineaux » que l’on reconnaît l’architecture du Vercors. Les pignons en forme d’escaliers étaient recouverts de lauzes pour les protéger et éviter les infiltrations d’eau.
Le chaume a, par la suite, été remplacé par de l’ardoise puis par de la tôle ou des plaques en fibrociment. Certaines toitures ont également été recouvertes de lames de bois, en épicéa de 70 cm de long appelées essendoles. Celles-ci sont superposées en trois couches successives sur la toiture.
La tradition du Vercors a longtemps été l’agriculture. La terre n’étant pas très fertile pour la culture, les Vertacomicoriens se sont plutôt tournés vers l’élevage, bovin au nord et ovin au sud. Les techniques se perdent peu à peu. C’est pourquoi dans les années 1990 des jeunes agriculteurs du pays des Quatre Montagnes relancent la race bovine du pays, « la Villarde » et en même temps un fromage reconnu AOC le Bleu de Vercors - Sassenage. C’est un fromage à base de lait de vache, pour une consommation optimale, il est affiné pendant 4 semaines. Il a une pâte non cuite et il est d’une saveur très douce.
Parallèlement, on a également travaillé le bois. Mais comme il n’était pas possible de le transporter, vu le faible réseau routier et la densité de la forêt, on l'a exploité par « charbonnage » car il est plus facile à transporter du charbon que des bûches. C’est un travail dur et laborieux. Le charbon est fait à partir de la lente combustion du hêtre. Ainsi des buttes de bûches de bois étaient faites, 8 à 10 mètres de diamètre et 3 à 4 mètres de haut. Celles-ci sont ensuite recouvertes de terre (une sorte de couvercle pour éviter le tirage). Il fallait abattre les arbres, les couper, construire la butte. La combustion d’une butte et de ses 30 tonnes de bois mettait deux à trois semaines ; un homme surveillait en permanence la combustion en perçant notamment des trous dans la carapace en terre. Les hommes vivaient donc en permanence sur les chantiers, dans des huttes en bois fabriquées par leurs soins.
Les plus beaux troncs servaient de mât pour les navires. Ils étaient lancés du haut des falaises par des chemins spécifiques jusqu’à l’Isère, puis assemblés et transportés en radeau jusqu’à Marseille. Ces troncs étaient réquisitionnés par le roi.
Actuellement le bois est devenu une très bonne source de revenus pour les communes.
Au XIXème siècle, la poussée démographique se poursuit. Le travail n’est plus suffisant pour faire vivre tout le monde. C’est en 1851 que le Vercors compte le plus fort taux de population. Il s’en suit un exode vers les villes et l’industrie. Les charbonniers italiens viennent habiter le Vercors pour trouver du travail, celui qui a été délaissé par la population locale.
Nous commençons notre tour des saveurs par le sud du Vercors :
C’est dans le Diois que s’élabore l’effervescente Clairette de Die à partir de cépage de muscat. Ce n’est pas du champagne, ni du crémant, c’est plus sucré : goûtez, vous nous en donnerez des nouvelles !
C’est aussi dans cette région ovine du sud que l’on peut savourer le picodon, fromage de chèvre à consommer très frais et fondant dans la bouche ou plus fait, avec un caractère très fort.
Remontez un peu et, entre Gervanne et Royans, vous trouverez la caillette, faite de gras et maigre de porc additionnés de fines herbes. Si votre plaisir n’est pas encore atteint, peut-être goûterez-vous aux ravioles du Royans, petit ravioli fourré au persil et au fromage.
Le Saint-Marcellin est quant à lui, comme le Bleu du Vercors Sassenage, un fromage à pâte molle au lait de vache.
De nombreuses recettes fromagères découlent du Bleu de Sassenage : dont la Vercouline, la fameuse raclette au Bleu du Vercors et la Tartibleue, la tartiflette au Bleu du Vercors.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, le maquis du Vercors fut une importante base de la Résistance française réfugiée dans le massif du Vercors, véritable forteresse naturelle.
Rappel : 6 juin 1944, les Alliés prennent d'assaut les plages de Normandie et percent le mur de l'Atlantique. Dans le Vercors, où sont établis plusieurs camps de maquisards, le débarquement est le signal de la mobilisation contre l'occupant allemand. Les résistants, de plus en plus nombreux, rêvent maintenant de lutte ouverte.
Refuge et refus : À partir de 1940 le Vercors, situé en zone libre, est un lieu de refuge en particulier pour les victimes des mesures de discriminations politiques ou raciales du gouvernement de Vichy.
Avec l'occupation de la zone sud en novembre 1942, la montagne du Vercors devient également site de résistance pour ceux qui refusent l'idée d'une France soumise. Les réfractaires au STO, le Service de Travail Obligatoire qui envoie les jeunes Français travailler en Allemagne, viennent grossir les rangs des maquis.
Le Vercors, visible de très loin, depuis les portes de Lyon, ressemble à une forteresse naturelle de soixante kilomètres de long sur trente de large. Les résistants s'y sentent à l'abri de la répression qui sévit dans la région.
Le « Plan Montagnards » :
Mais il manque un plan, une stratégie, à ces maquisards et à ces réfractaires qui savent le combat inéluctable.
En fait ce plan existe depuis mars 41. Il a jailli dans l'esprit de deux hommes fascinés par les falaises gigantesques du Vercors. Pierre Dalloz et son ami l'écrivain Jean Prévost ont l'idée de transformer le massif en "Cheval de Troie pour commandos aéroportés".
Cette idée prend corps en janvier 1943 : le Vercors interviendrait au moment d'un débarquement allié attendu en Provence et les troupes aéroportées iraient immédiatement porter le combat sur les arrières de l'ennemi. Le projet, accepté par Jean Moulin et le général Delestraint, devient le "Plan Montagnards". Il est approuvé par le général de Gaulle et les Alliés à Londres comme à Alger.
Ce Plan est mis en œuvre par Alain Le Ray puis par François Huet, chefs militaires du Vercors en liaison avec Eugène Chavant, chef civil du Maquis.
Les camps : Dès 1943, la Résistance s'organise dans le massif. Au cœur de forêts, une douzaine de camps existent. Début 1944, ils rassemblent 400 à 500 civils et militaires, souvent très jeunes, ravitaillés par une population généralement favorable, approvisionnés en armes et en médicaments par les parachutages alliés.
Le combat : Le 6 juin 1944, l'excitation est à son comble en France et dans le Vercors, l'ordre de Londres est le signal de l'action générale. Les entrées du massif sont verrouillées. On ne laisse "monter" que les volontaires qui affluent. Ils sont 4 000, début juillet, et ils proclament la République, faisant flotter le drapeau tricolore sur un territoire déclaré "libre".
Ce massif en armes est un défi à l'ennemi. À Grenoble, le général allemand Karl Pflaum décide d'en finir. Après quelques offensives destinées à mesurer la résistance effective du maquis, notamment à Saint Nizier les 13 et 15 juin 1944 et aux Ecouges le 21 juin 1944, il lance le 21 juillet 15 000 hommes de troupe à l'assaut du Vercors. L'attaque est générale, par les routes, par les "pas", ces cols escarpés que l'on ne franchit qu'à pied, et par les airs puisque sur Vassieux se posent les planeurs à croix noires de la Waffen SS là où auraient dû atterrir les alliés. Après une semaine d'un combat acharné mais inégal, le Vercors est à genoux. Plus de 600 résistants et une centaine d'Allemands sont tués.
Malgré la reconstruction de nombreux bourgs et hameaux après la guerre, le Vercors garde des traces indélébiles de cette période tragique. De nombreux mémoriaux, stèles, monuments jalonnent le paysage nous rappelant cette partie de notre histoire.
Prochains départs
Dates et prix pour ce circuit
DATES |
PRX |
Du 16/12/2021 au 30/03/2022 |
270 € |
OPTIONS :
Pique-niques :
+ 24 € / pers.
Location de matériel (Raquettes + Bâtons) :
+ 20 € / pers.
Vous souhaitez prolonger votre séjour dans le Vercors :
+ 80 € / pers. en ½ pension en chambre à 2
+ 100 € / pers. en ½ pension en chambre individuelle
Le forfait comprend
l'hébergement pour 2 nuits la demi-pension (dîners et petits déjeuners) le carnet de route, les cartes avec l’itinéraire, les traces GPS sur demande, la taxe de séjourLe forfait ne comprend pas
les assurances les frais d’inscription le matériel (raquettes + bâtons + chaussures) le transport de vos bagages les pique-niques les boissons le ticket d’accès aux navettes du J1 (aller simple env. 3 €) et télésiège du J1 (aller simple env. 5 €) les draps et le duvet au refuge le transport de votre domicile à votre premier hébergementACCUEIL
Le jour 1 en fin d’après-midi à l’hébergement à Méaudre (ou Autrans selon disponibilités au moment de votre réservaton).
Si vous arrivez en retard ou en cas de problème de dernière minute :
Appelez le 04 76 95 23 51
Accès voiture :
Autrans-Méaudre se situe à 1 000 m d’altitude. Vous êtes donc en milieu montagnard ; les équipements neige sont indispensables (pneus neige / chaînes).
Météo des routes et infos routes : au 08 92 69 19 77 ou sur www.itinisere.fr.
* En venant du Nord via Grenoble : prendre la sortie n°14 "St Egrève Le Fontanil, Sassenage" de l’autoroute A48. Au rond-point, prendre à droite et traverser le barrage sur l'Isère. Suivez alors la direction de Sassenage, Villard de Lans. Au rond-point de Sassenage, commence alors la montée sur le plateau par la D531. À Lans en Vercors, prendre à droite direction Autrans par la D106. Passer le col de la Croix Perrin et redescendre. Au pied du col, continuer en direction d’Autrans. Possibilité de vous garer à proximité de l’hôtel sur la « voie parking ».
* En venant du Sud via Valence : prendre l’autoroute A49 pour Grenoble. Prendre la sortie n°8 « Aire Royans-Vercors, Villard de Lans ». Puis suivre Villard-de-Lans (D 531) par les gorges de la Bourne. Aux Jarrands, continuer votre route à gauche par la D106 pour Méaudre. Traverser le village en direction d’Autrans. Traverser Autrans, puis se garer sur la « voie parking ». Votre hôtel se trouve à proximité.
Attention cet itinéraire est dévié à certaines périodes de l’année (printemps et automne en général). Nous vous conseillons alors de rejoindre alors Grenoble par l’A49 et de suivre ensuite le descriptif « en venant du Nord ».
Co-voiturage : un moyen de transport économique, écologique et convivial… au départ de chez vous ou d’une grande ville à proximité. Rendez-vous sur : www.blablacar.fr
Accès Train + Bus :
- Train ou TGV jusqu'à la Gare SNCF de Grenoble, horaires et informations au 36 35 ou www.oui.sncf.
- Puis bus régulier pour Autrans-Méaudre (ligne T64 puis T66). Il se prend depuis la gare routière, attenante à la gare SNCF. Ce bus est direct ou avec changement à Lans en Vercors.
Horaire à titre d’exemple du bus Car Région Isère : Grenoble 17 h 00 - Méaudre 18 h 21 (village).
À vérifier auprès de la compagnie Car Région Isère au 0 820 08 38 38, www.transisere.fr. Achat du titre de transport directement à la gare routière de Grenoble (6 € le trajet).
DISPERSION
Le jour 3, à Autrans-Méaudre après l’étape.
Retour voiture :
Itinéraire inverse de celui de l’aller
Retour Bus + Train :
Vous prenez un bus au départ d’Autrans-Méaudre pour rejoindre la Gare SNCF de Grenoble.
Horaire à titre d’exemple du bus Car Région Isère :
Méaudre 16 h 20 – Grenoble 17 h 35
Méaudre 17 h 27 – Grenoble 18 h 50
À vérifier auprès de la compagnie Car Région Isère au 0 820 08 38 38, www.transisere.fr. Bus non réservable. Attention, les samedis des vacances scolaires étant chargés, la compagnie Transaltitude vient en renfort de la ligne Transisère. Son avantage : ses bus sont réservables. Pour connaître les horaires spécifiques et effectuer votre réservation, rendez-vous sur www.transaltitude.fr. Tarif : env. 15 €. Votre place est ainsi garantie. Nous vous recommandons vivement cette alternative si vous voyagez un samedi.
Si vous désirez prolonger votre séjour :
Merci de nous le signaler lors de votre inscription auprès de notre agence : 04 76 95 23 51
NIVEAU
Niveau physique 2 à 3 sur une échelle de 5 :
4 à 6 heures de raquette par jour.
Itinéraire vallonné d’une quinzaine de kilomètres ou itinéraire de montagne avec dénivelées de 350 à 850 m en montée et/ou en descente.
La pratique de la raquette à neige demande plus d’effort qu’en simple randonnée pédestre.
Votre séjour :
Attention, l’hiver suivant les conditions d’enneigement le temps de marche peut être très variable. Un cas de fortes chutes de neiges ne surestimez pas vos capacités. N’oubliez pas que vos portez vos affaires pour la nuit et votre change.
Dénivelée moyenne : 585 m Maximum : 670 m
Longueur moyenne : 13 km Maximum : 18 km
Horaire moyen : 5 h Maximum : 6 h
HEBERGEMENT
1 nuit en gîte-hôtel de charme en chambre : draps et serviette fournis.
1 nuit en refuge : prévoir un drap-sac ainsi qu’une petite serviette de toilette. Selon les conditions sanitaires du moment, il faudra peut-être prévoir votre propre duvet (sac de couchage), nous vous confirmerons à la réservation. Vous n’avez pas besoin d’un gros duvet, le refuge est chauffé. Pour rappel, le transport de vos bagages n’étant pas assuré vous devrez porter votre vos affaires pour la nuit.
Repas :
Dîners et petits déjeuners servis chauds.
Les pique-niques ne sont pas compris dans votre formule : pour randonner en toute tranquillité nous vous conseillons de les commander à l’avance, au moment de la réservation. Si vous ne prenez pas l’option, il vous sera toujours possible de commander directement à l’étape. Dans ce cas prévenez l’hébergement au minimum 48 h à l’avance.
Le ravitaillement est facile à Autrans, point de départ de votre randonnée raquettes. Si vous ne prenez pas les pique-niques, prévoyez suffisamment de vivres pour les 2 jours.
GROUPE
À partir de 2 personnes.
DOSSIER DE RANDONNEE
Dans les 21 jours précédant votre départ et après réception du solde, nous vous adressons votre carnet de route. Celui-ci comporte le topo guide et les fonds de cartes tracés pour la raquette.
Si votre inscription intervient à moins de 15 jours du départ, votre carnet de route vous sera remis sur place.
Nous consulter si vous souhaitez des dossiers et cartes supplémentaires : + 60 € le dossier.
EQUIPEMENT INDIVIDUEL A PREVOIR
Matériel de raquettes à neige (raquettes, bâtons et chaussures).
Possibilité de louer du matériel (raquettes + bâtons) sur place (voir OPTIONS).
Vêtements :
Les principes :
Pour le haut comme pour le bas du corps, privilégier le « multi-couches ». C’est-à-dire plusieurs épaisseurs de vêtements que vous ôterez ou ajouterez au gré de la température et de l’effort.
Par exemple :
- un sous-pull à manches longues en matière respirante (fibre creuse)
- une veste polaire
- une veste coupe-vent imperméable et respirante type Gore-Tex
Par beau temps calme, le sous-pull peut suffire. Par temps de pluie, neige ou vent, il suffit d’ajouter cette veste imperméable. Par grands froids ou lors des pauses, la veste polaire est un complément indispensable.
Prévoir des vêtements qui sèchent rapidement et donc proscrire le coton. Préférez les fibres synthétiques qui permettent de rester au sec et au chaud aussi longtemps que possible.
Pensez à vous couvrir avant d’avoir froid, mais surtout à vous découvrir avant d’avoir trop chaud. La sueur est l’ennemie du randonneur, car elle humidifie les vêtements qui sont rapidement glacés lors des pauses. Ainsi, il est très rare d’effectuer une ascension vêtu d’une veste polaire.
Éviter les combinaisons de ski, trop chaudes et encombrantes.
La liste idéale :
- 1 bonnet
- 2 paires de gants
- tee-shirts manches courtes en matière respirante (1 pour 2 jours de marche)
- 1 sous-pull à manches longues en matière respirante et thermique
- 1 veste polaire
- 1 veste coupe-vent imperméable et respirante type Gore-Tex avec capuche
- 1 cape de pluie ou un sursac si vous possédez la veste ci-dessus
- 1 pantalon de trekking ou d’outdoor souple, thermique et confortable.
- 1 surpantalon imperméable et respirant type Gore-Tex
- chaussettes d'hiver (1 paire pour 2 jours de marche). Privilégier les chaussettes spécifiques randonnée type « bouclette » qui vous éviteront l’échauffement prématuré des pieds. Attention au coton pour les ampoules.
- 1 paire de chaussures de randonnée tenant bien la cheville et imperméables, à semelle type Vibram. Pensez à « tester » auparavant les chaussures neuves et celles inutilisées depuis longtemps. Proscrire absolument les bottes et après-skis qui ne permettent pas de chausser les raquettes à neige.
- 1 paire de guêtres. Si votre pantalon possède des « soufflets », cela n’est pas nécessaire.
- des sous-vêtements
- 1 maillot de bain
- 1 pantalon confortable pour le soir
- 1 paire de chaussures de détente légères pour le soir
Équipement :
- 1 sac à dos de 35/40 litres, muni d’une ceinture ventrale et permettant idéalement d’accrocher les raquettes sur le sac si nécessaire.
- 1 grand sac plastique permettant de protéger l’intérieur du sac à dos
- 1 paire de lunettes de soleil d’excellente qualité avec protection latérale
- 1 thermos ou une gourde de préférence isotherme (2 litres minimum)
- 1 boîte hermétique et 1 fourchette-cuillère pour les pique-niques si vous les commandez.
- des vivres de course
- 1 couteau de poche
- 1 petite pochette (de préférence étanche) pour mettre votre argent, carte d’identité, carte vitale et contrat d’assistance reçu lors de votre inscription si vous avez souscrit cette assurance ou celui de votre assurance personnelle.
- nécessaire de toilette (privilégiez l’indispensable, les petites contenances, les échantillons et les kits de voyage)
- votre gel hydro-alcoolique de poche et lingettes désinfectantes
- vos masques en quantité suffisante
- 1 drap de bain
- boules Quiès ou tampon Ear (facultatif)
- papier toilette
- crème solaire + écran labial
- 1 frontale ou lampe de poche
- 1 couverture de survie
- appareil-photo, jumelles (facultatif)
- si vous portez des lunettes de vue, pensez à prendre une paire de rechange
Pharmacie personnelle :
- vos médicaments habituels
- médicaments contre la douleur : paracétamol de préférence
- pastilles contre le mal de gorge
- bande adhésive élastique, type Elastoplaste en 8 cm de large
- jeux de pansements adhésifs + compresses désinfectantes
- double peau (type Compeed ou SOS ampoules)
- vitamine C
- 1 pince à épiler
- Stérilium gel (utile pour se laver/désinfecter les mains)