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Alpes, Vercors : Douces Vallées en famille en VTT - circuit en liberté
Rando En liberté - Itinérant en linéaire - 6 jour(s)
A partir de 520,00 € TTC
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Quoi de plus agréable, chacun son rythme de croisière, de découvrir une région à VTT avec petits et grands !
En effet, la Vallée des 4 Montagnes semble avoir été dessinée pour cette aventure familiale. Des pistes où vos pitchounes vous surprendront par leur habilité, leur enthousiasme et leur motivation. Un terrain de jeu où ils pourront évoluer en toute sécurité. Quoi de plus merveilleux que de pouvoir partager ces moments de bonheur en famille.
Pour ce parcours, nous avons soigneusement sélectionné villages et sites présentant des attraits tout particuliers pour les enfants … Mais ces atouts … Se méritent à coups de pédales.
Jour 01 :
Hébergement en gîte confortable ou hôtel 2*
Jour 02 :
Après un bon petit-déjeuner à base de tartines, de confitures et de miel, vous débutez par la traversée du Val de Méaudre-Autrans. Une belle entrée en matière qui vous permettra certainement de faire les derniers réglages.
Place ensuite à l'ascension vers le plateau de Gève. C'est ici que l'on peut croiser les sportifs s'entraîner au biathlon (ski de fond et tir à la carabine). On y croise les « grands noms » comme Martin Fourcade, Emilien Jacquelin...
Hébergement en hôtel.
Dénivelée : + 570 m Longueur : 15 km Horaire : 4 h
Jour 03 :
Aujourd'hui vous avez le choix de faire une boucle variée le long des pistes du domaine de Gève tout en passant près de l'auberge ; ou bien de suivre directement le parcours par la piste des Sabots puis celle des Pichères. Cette dernière est un peu raide sur le premier tronçon et devient plus facile jusqu'à la route de la Molière.
Vous apprécierez l'ambiance cosy et le coucher de soleil depuis la terrasse du refuge.
Dénivelée : + 500 m Longueur : 15 km Horaire : 4 h
Dénivelée : + 740 m Longueur : 19,5 km Horaire : 5 h
Hébergement en refuge d'alpage.
NB : Si vous choisissez de faire ce circuit en VTT électrique, sachez que vous ne pourrez pas recharger votre batterie dans cet hébergement qui s'alimente en électricité avec un panneau solaire.
Jour 04 :
L'alpage de la Molière, un lieu incontournable. Un vaste plateau ouvrant une large vue sur les Alpes où pâturent durant l'été quelques 300 génisses. Sur les flancs de l'alpage de magnifiques cheminées de fée nous guettent.
Un premier parcours est principalement descendant et facile jusqu'à Lans ; le second emprunte la ligne de crête avec plus de rythme et de passages techniques. On parle ici de vrai VTT.
Hébergement en hôtel 2* ou chambre d'hôte, avec piscine.
Dénivelée : + 400 m, - 850 m Longueur : 20 km Horaire : 4 h 30
Jour 05 :
C'est aujourd'hui la traversée du Val de Lans. Un paysage ouvert avec en toile de fond la chaîne orientale du massif : le Roc Cornafion et la Grande Moucherolle. Le parcours devient plus vallonné depuis le pied du village de Villard pour prendre régulièrement de l'altitude jusqu'à votre arrivée. Pas de difficulté technique aujourd'hui.
En guise de variante, vous pouvez en début d'étape faire la boucle du Bec de l'Aigle ; un parcours plus sportif et technique que l'étape directe.
Hébergement en auberge confortable.
Dénivelée : + 750 m Longueur : 26 km Horaire : 5 h à 5 h 30
Jour 06 :
Depuis l'extrémité Sud du pays des Quatre Montagnes, vous allez rejoindre Méaudre.
L'itinéraire débute par la forêt de Bois Barbu pour enchaîner par les magnifiques gorges du Méaudret et son cheminement tantôt le long de la rivière tantôt la surplombant.
Dénivelée : + 450 m Longueur : 18 km Horaire : 3 h 30
Dénivelée : + 450 m Longueur : 21 km Horaire : 4 h 30
POUR EN SAVOIR PLUS
Le nom « Vercors » viendrait du nom d’un peuple celte installé dans la région : les Vertacomicorii.
Les habitants du Vercors sont donc les Vertacomicoriens !
Ce n’est qu’au début du XXème siècle que les géographes grenoblois définissent l’entité Vercors comme étant un massif montagneux.
Le Vercors est une entité rocheuse délimitée par 3 rivières : au nord et à l’ouest l’Isère, à l’est le Drac et au sud la Drôme. Le Vercors, massif situé sur deux départements, l’Isère et la Drôme, est composé de sept pays :
- Les Quatre Montagnes au nord-est,
- Le Royans isérois au nord-ouest,
- La Gervanne au sud-ouest,
- Le Royans drômois entre Gervanne et Royans isérois,
- Le Vercors central,
- Le Diois au sud,
- Le Trièves au sud-est.
Le Vercors est un massif calcaire constitué de sédiments qui se sont empilés pendant l’ère secondaire (-150 à – 65 millions d’années). Par la suite, la tectonique des plaques a donné naissance aux Alpes. Les roches du Vercors se sont déplacées vers l’ouest. Mais, les volcans d’Auvergne, plus anciens, ont formé un barrage. C’est pourquoi le déplacement s’est accompagné d’un plissement des roches et donne au massif sa structure en tôle ondulée : anticlinaux pour les plis en voûte et synclinaux pour les plis en creux.
L’eau a ainsi façonné au fil du temps des gorges profondes, des cirques majestueux, des gouffres et des grottes parmi les plus célèbres en Europe (gouffre Berger, grottes de Choranche).
Ainsi vous découvrirez des paysages des plus divers tels que falaises, prairies herbeuses, sentiers en sous-bois, cascades rafraîchissantes ou panorama à 360°.
Le tourisme a commencé à se développer avec la station climatique de Villard de Lans. Les malades, atteints de tuberculose, venaient y séjourner et se mettre au soleil et au grand air sur les larges balcons des hôtels. Les remontées mécaniques apparaissent dès 1931. Après la Deuxième Guerre mondiale, nombre de mutations vont changer la vie des habitants et des touristes : achèvement de l’électrification, ouverture de nouvelles routes. Les Jeux Olympiques de 1968 de Grenoble donnent encore un élan de médiatisation avec celles du saut à ski à Saint-Nizier-du-Moucherotte et les épreuves de ski de fond à Autrans. C’est dans ce cadre que s’est développée la traditionnelle Traversée du Vercors, course de ski de fond - inspirée de la Vasaloppett en Suède - plus de 50 km et 2 000 mètres de dénivelées positives. De nombreuses modifications ont été apportées depuis 1968. Des variantes ont également été créées : la Vercorette pour les enfants et les 100 km du Vercors.
Toute l’architecture du Vercors n’est pas identique. Elle varie en fonction de l’altitude et du climat. On retrouve tout de même certaines particularités propres au Vercors. Ainsi les maisons regroupent l’habitation et le bâtiment agricole sous le même toit. Les murs sont fait en pierre - du calcaire - et les ouvertures sont petites et orientées au sud. Le bois est très peu utilisé (malgré les ressources locales) en raison des risques d’incendie.
Le plus caractéristique de ces habitations vertacomicoriennes se situe au niveau de la toiture. Celle-ci, à deux pans, a des pentes très raides. Anciennement le chaume était utilisé. Pour la protéger du vent, on faisait dépasser les pignons au-dessus de la toiture. C’est cette forme si particulière nommée « sauts de moineaux » que l’on reconnaît l’architecture du Vercors. Les pignons en forme d’escaliers étaient recouverts de lauzes pour les protéger et éviter les infiltrations d’eau. Le chaume a, par la suite, été remplacé par de l’ardoise puis par de la tôle ou des plaques en fibrociment. Certaines toitures ont également été recouvertes de lames de bois, en épicéa de 70 cm de long appelées essendoles. Celles-ci sont superposées en trois couches successives sur la toiture.
La tradition du Vercors a longtemps été l’agriculture. La terre n’étant pas très fertile pour la culture, les Vertacomicoriens se sont plutôt tournés vers l’élevage, bovin au nord et ovin au sud. Les techniques se perdent peu à peu. C’est pourquoi dans les années 1990 des jeunes agriculteurs du pays des Quatre Montagnes relancent la race bovine du pays, « la Villarde » et en même temps un fromage reconnu AOC le Bleu de Vercors - Sassenage. C’est un fromage à base de lait de vache, pour une consommation optimale, il est affiné pendant 4 semaines. Il a une pâte non cuite et il est d’une saveur très douce.
Parallèlement, on a également travaillé le bois. Mais comme il n’était pas possible de le transporter, vu le faible réseau routier et la densité de la forêt, on l'a exploité par « charbonnage » car il est plus facile à transporter du charbon que des bûches. C’est un travail dur et laborieux. Le charbon est fait à partir de la lente combustion du hêtre. Ainsi des buttes de bûches de bois étaient faites, 8 à 10 mètres de diamètre et 3 à 4 mètres de haut. Celles-ci sont ensuite recouvertes de terre (une sorte de couvercle pour éviter le tirage). Il fallait abattre les arbres, les couper, construire la butte. La combustion d’une butte et de ses 30 tonnes de bois mettait deux à trois semaines ; un homme surveillait en permanence la combustion en perçant notamment des trous dans la carapace en terre. Les hommes vivaient donc en permanence sur les chantiers, dans des huttes en bois fabriquées par leurs soins.
Les plus beaux troncs servaient de mât pour les navires. Ils étaient lancés du haut des falaises par des chemins spécifiques jusqu’à l’Isère, puis assemblés et transportés en radeau jusqu’à Marseille. Ces troncs étaient réquisitionnés par le roi.
Actuellement le bois est devenu une très bonne source de revenus pour les communes.
Au XIXème siècle, la poussée démographique se poursuit. Le travail n’est plus suffisant pour faire vivre tout le monde. C’est en 1851 que le Vercors compte le plus fort taux de population. Il s’en suit un exode vers les villes et l’industrie. Les charbonniers italiens viennent habiter le Vercors pour trouver du travail, celui qui a été délaissé par la population locale.
Nous commençons notre tour des saveurs par le sud du Vercors :
C’est dans le Diois que s’élabore l’effervescente Clairette de Die à partir de cépage de muscat. Ce n’est pas du champagne, ni du crémant, c’est plus sucré : goûtez, vous nous en donnerez des nouvelles !
C’est aussi dans cette région ovine du sud que l’on peut savourer le picodon, fromage de chèvre à consommer très frais et fondant dans la bouche ou plus fait, avec un caractère très fort.
Remontez un peu et, entre Gervanne et Royans, vous trouverez la caillette, faite de gras et maigre de porc additionnés de fines herbes. Si votre plaisir n’est pas encore atteint, peut-être goûterez-vous aux ravioles du Royans, petit ravioli fourré au persil et au fromage.
Le Saint-Marcellin est quant à lui, comme le Bleu du Vercors Sassenage, un fromage à pâte molle au lait de vache.
De nombreuses recettes fromagères découlent du Bleu de Sassenage : dont la Vercouline, la fameuse raclette au Bleu du Vercors et la Tartibleue, la tartiflette au Bleu du Vercors.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, le maquis du Vercors fut une importante base de la Résistance française réfugiée dans le massif du Vercors, véritable forteresse naturelle.
Rappel : 6 juin 1944, les Alliés prennent d'assaut les plages de Normandie et percent le mur de l'Atlantique. Dans le Vercors, où sont établis plusieurs camps de maquisards, le débarquement est le signal de la mobilisation contre l'occupant allemand. Les résistants, de plus en plus nombreux, rêvent maintenant de lutte ouverte.
Refuge et refus : À partir de 1940 le Vercors, situé en zone libre, est un lieu de refuge en particulier pour les victimes des mesures de discriminations politiques ou raciales du gouvernement de Vichy.
Avec l'occupation de la zone sud en novembre 1942, la montagne du Vercors devient également site de résistance pour ceux qui refusent l'idée d'une France soumise. Les réfractaires au STO, le Service de Travail Obligatoire qui envoie les jeunes Français travailler en Allemagne, viennent grossir les rangs des maquis.
Le Vercors, visible de très loin, depuis les portes de Lyon, ressemble à une forteresse naturelle de soixante kilomètres de long sur trente de large. Les résistants s'y sentent à l'abri de la répression qui sévit dans la région.
Le « Plan Montagnards » :
Mais il manque un plan, une stratégie, à ces maquisards et à ces réfractaires qui savent le combat inéluctable.
En fait ce plan existe depuis mars 41. Il a jailli dans l'esprit de deux hommes fascinés par les falaises gigantesques du Vercors. Pierre Dalloz et son ami l'écrivain Jean Prévost ont l'idée de transformer le massif en "Cheval de Troie pour commandos aéroportés".
Cette idée prend corps en janvier 1943 : le Vercors interviendrait au moment d'un débarquement allié attendu en Provence et les troupes aéroportées iraient immédiatement porter le combat sur les arrières de l'ennemi. Le projet, accepté par Jean Moulin et le général Delestraint, devient le "Plan Montagnards". Il est approuvé par le général de Gaulle et les Alliés à Londres comme à Alger.
Ce Plan est mis en œuvre par Alain Le Ray puis par François Huet, chefs militaires du Vercors en liaison avec Eugène Chavant, chef civil du Maquis.
Les camps : Dès 1943, la Résistance s'organise dans le massif. Au cœur de forêts, une douzaine de camps existent. Début 1944, ils rassemblent 400 à 500 civils et militaires, souvent très jeunes, ravitaillés par une population généralement favorable, approvisionnés en armes et en médicaments par les parachutages alliés.
Le combat : Le 6 juin 1944, l'excitation est à son comble en France et dans le Vercors, l'ordre de Londres est le signal de l'action générale. Les entrées du massif sont verrouillées. On ne laisse "monter" que les volontaires qui affluent. Ils sont 4 000, début juillet, et ils proclament la République, faisant flotter le drapeau tricolore sur un territoire déclaré "libre".
Ce massif en armes est un défi à l'ennemi. À Grenoble, le général allemand Karl Pflaum décide d'en finir. Après quelques offensives destinées à mesurer la résistance effective du maquis, notamment à Saint Nizier les 13 et 15 juin 1944 et aux Ecouges le 21 juin 1944, il lance le 21 juillet 15 000 hommes de troupe à l'assaut du Vercors. L'attaque est générale, par les routes, par les "pas", ces cols escarpés que l'on ne franchit qu'à pied, et par les airs puisque sur Vassieux se posent les planeurs à croix noires de la Waffen SS là où auraient dû atterrir les alliés. Après une semaine d'un combat acharné mais inégal, le Vercors est à genoux. Plus de 600 résistants et une centaine d'Allemands sont tués.
Quant à la population, exposée à la sauvagerie des assaillants, elle paie un lourd tribut : 201 personnes meurent dans des conditions souvent atroces, 41 autres sont déportées, 573 maisons sont détruites.
Malgré la reconstruction de nombreux bourgs et hameaux après la guerre, le Vercors garde des traces indélébiles de cette période tragique. De nombreux mémoriaux, stèles, monuments jalonnent le paysage nous rappelant cette partie de notre histoire.
Pour les dates et prix des prochains départs, nous consulter.
Dates et prix pour ce circuit
Date de départ de votre choix, en fonction des disponibilités au moment de votre réservation. Merci de nous donner une date de départ avec + ou – 1 jour de latitude.
DATES |
Famille de 2/3 personnes |
Famille de 4 personnes et + |
Départ à la date de votre choix, en fonction des disponibilités au moment de la réservation du 1er juin au 30 septembre 2021
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660 € / adulte ou enfant 12 ans et +
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610 € / adulte ou enfant 12 ans et +
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570 € / enfant de 7 à 11 ans
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520 € / enfant de 7 à 11 ans
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OPTIONS :
> Nuit supplémentaire en ½ pension en fin de séjour, au gîte Arcanson à Méaudre. Réservez à l’avance, nous vous offrons l’accès à l’espace bien-être !
- ½ pension en chambre de 2 : 77 € / adulte et 58 € / enfant
Par téléphone: 04 76 95 23 51, ou sur le web : www.arcanson.com
MODIFICATION DE RÉSERVATION : ATTENTION !
Une fois la réservation effectuée, toute modification (type de chambre, date de départ, nombre de personnes, type de prestation…) entraînera des frais de dossier (60 €).
Le forfait comprend
l’hébergement la demi-pension le transport des bagages le carnet de route et les fonds de cartes tracés (traces GPS sur demande) la coordination du circuitLe forfait ne comprend pas
le matériel les boissons les pique-niques les serviettes de toilette et les draps pour le J03 (prévoir un drap-sac) l’assurance et les frais d’inscription le transport de votre domicile à l’hébergementACCUEIL
Appelez le 04 76 95 23 51.
Accès voiture :
* En venant du Nord via Grenoble : prendre la sortie n°14 "St Egrève Le Fontanil, Sassenage" de l’autoroute A48. Au rond-point, prendre à droite et traverser le barrage sur l'Isère. Suivez alors la direction de Sassenage, Villard de Lans. Au rond-point de Sassenage, commence alors la montée sur le plateau par la D531.
À Lans en Vercors, prendre à droite direction Autrans par la D106. Passer le col de la Croix Perrin et redescendre. Au pied du col, prendre à gauche direction Méaudre. Le Gîte Arcanson est à 1 km sur votre droite.
* En venant du Sud via Valence : prendre l’autoroute A49 pour Grenoble. Prendre la sortie n°8 « Aire Royans-Vercors, Villard de Lans ». Puis suivre Villard-de-Lans (D 531) par les gorges de la Bourne. Aux Jarrands, continuer votre route à gauche par la D106 pour Méaudre. Traverser le village en direction de Grenoble. Faire 2 km, le Gîte Arcanson est alors sur votre gauche, au hameau Les Gaillardes.
Attention cet itinéraire est dévié à certaines périodes de l’année (printemps et automne en général). Nous vous conseillons alors de rejoindre alors Grenoble par l’A49 et de suivre ensuite le descriptif « en venant du Nord ».
Attention cet itinéraire est dévié à certaines périodes de l’année. Nous vous conseillons de rejoindre alors Grenoble par l’A49 et de suivre ensuite le descriptif Nord.
Info Routes au 08 92 69 19 77.
Co-voiturage : un moyen de transport économique, écologique et convivial… au départ de chez vous ou d’une grande ville à proximité. Rendez-vous sur : www.blablacar.fr
Horaire à titre d’exemple du bus Transisère :
Grenoble 17 h – Méaudre 18 h 21 (place du village).
Horaires à vérifier auprès de la compagnie de Cars Transisère.
Tel : 0 820 08 38 38 ou www.transisere.fr
Le bus se prend depuis la gare routière qui est attenante à la gare SNCF. Achat du titre de transport directement à la gare routière de Grenoble (6€ le trajet). Bus équipés de porte-vélo l'été.
DISPERSION
Vous prenez un bus au départ de Méaudre pour rejoindre la Gare TGV de Grenoble.
Bus pour Grenoble (ligne 5120 puis 5100) .
Horaires disponibles auprès de la compagnie Cars Transisère au 0 820 08 38 38 ou www.transisere.fr.
Train / TGV au départ de Grenoble : horaires disponibles auprès de la SNCF sur www.oui.sncf ou par téléphone au 36 35 ou encore sur le site www.dbfrance.fr.
NIVEAU
Cool/Facile : Vous êtes en bonne santé et avez une activité physique irrégulière.
Niveau technique : 2/4
HEBERGEMENT
2 nuits en gîte (chambre), 2 nuits en hôtel (chambre) et 1 nuit en refuge ou chalet d’alpage (dortoir 8 à 12 lits).
Nuit en refuge ou chalet d’alpage : prévoir un drap-sac. Selon les conditions sanitaires du moment, il faudra peut-être prévoir votre propre duvet (sac de couchage), nous vous confirmerons à la réservation. Vous n’avez pas besoin d’un gros duvet, le refuge est chauffé en cas de nuits fraîches.
Repas :
Nos hôtes ont à cœur de vous faire découvrir les produits régionaux de notre terroir et de vous concocter de bons petits plats dont eux seuls ont le secret !
Dîners et petits déjeuners servis chauds.
Les pique-niques ne sont pas fournis. Vous trouverez aux villages des commerces pour constituer votre casse-croûte. Autre possibilité : demander à vos hôtes de vous le confectionner. Pour cela, les prévenir à l’avance.
GROUPE
DOSSIER DE RANDONNEE
MATÉRIEL VTT
Le matériel VTT n’est pas fourni pour votre séjour. Si besoin vous pourrez vous équiper chez des loueurs situés à proximité.
À Villard de Lans : Altiplano, tél. : 04 76 46 15 81.
À Méaudre : Cyles et Co, tél. : 04 76 95 20 44.
EQUIPEMENT INDIVIDUEL A PREVOIR
- votre gel hydro-alcoolique de poche et lingettes désinfectantes.
- 1 tire-tiques.